Mon rêve d'un détenteur de clés qui ne me laisse jamais sortir
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J'ai ce fantasme depuis aussi longtemps que je me souvienne : être enfermé, vraiment enfermé, sans issue. Pas en me disant « oh, peut-être que je serai libre vendredi », enfermé… Je parle d'éternité .
Dans mon rêve, mon détenteur de clé n'est pas du genre taquin, à se la jouer à tout va. Il est ferme. Inébranlable. La clé est à lui, le contrôle est absolu, et l'idée de libération ? Pas même envisagée. Il ne s'agit pas de punition ou de cruauté. Il s'agit du frisson profond et addictif de savoir que je suis à lui pour toujours.
Imaginez : je porte une cage à pénis en acier inoxydable , bien ajustée et inflexible. Elle me va parfaitement – pas de pincement, pas d'irritation, mais pas d'échappatoire non plus. Les semaines se transforment en mois. Mon corps commence à oublier ce qu'est la liberté. Ce petit « et si » d'évasion s'estompe, remplacé par une étrange et heureuse acceptation.
Un vrai gardien de clés qui ne me laisse jamais sortir ne fait pas d'erreur. Il ne perd pas la clé. Il ne s'attendrit pas. Il verrouille, il sourit, et il le pense vraiment . Chaque fois que je sens la cage, c'est un rappel – non pas de ce qui me manque, mais de celui qui me possède.
C'est le rêve. Et honnêtement ? L'idée même de le réaliser est plus satisfaisante que la libération ne pourrait jamais l'être.
Si vous vous êtes déjà demandé à quoi cela ressemble, commencez petit. Trouvez un appareil qui vous va vraiment bien, que vous pouvez porter sans irritation constante. Testez-vous avec des verrouillages plus longs. Voyez si vous êtes prêt pour un gardien de clés qui joue pour de bon ; une fois trouvé, il n'y a plus de retour en arrière.