Enfermez-le après une erreur – avec des pointes supplémentaires
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Laissez-moi vous dire ce que j'ai fait le week-end dernier.
Il a fait une erreur. Encore une fois. Juste un petit « il a oublié de me répondre pendant quatre heures », mais c'était la troisième fois cette semaine. Vous connaissez le genre : gentil quand il le veut, mais il a parfois besoin qu'on lui rappelle qui détient la clé.
Alors, je n'ai pas crié. Je n'ai pas harcelé. J'ai juste ouvert le tiroir.
La cage de chasteté à pointes est sortie. Celle avec les petites surprises pointues à l'intérieur. Pas assez douloureuse pour faire mal, mais juste assez pour dire : « À chaque tressaillement, tu te souviendras qui commande. »
Je l'ai fait s'agenouiller. Sans gémissements, sans excuses. Juste le silence tandis que je refermais la porte. Son regard ? Une soumission pure mêlée d'une pointe de panique. C'était exactement ce que je voulais.
Cette version n'est pas votre cage douce et lisse. Non. Ces pics mordent … Il a essayé de se déplacer pendant la première heure – erreur classique. Ces pics accueillaient chaque mouvement comme un signal d'alarme. Je lui ai dit : « Si tu fais preuve d'imprudence, tu porteras quelque chose qui te rappellera d'être prudent. »
Il l'a porté tout le week-end. Sans déverrouillage. Sans pause. Juste beaucoup de contorsions, de joues rouges et d'excuses murmurées.
Lundi ? Il était la version la plus attentionnée de lui-même que j'aie jamais vue. Il envoyait des SMS à l'heure. Sa voix était douce. On lui massait le dos sans qu'on le lui demande.
C'est le pouvoir de l'enfermer après l'erreur - et de choisir la cage à pointes .
Mesdames (ou messieurs les gardiens de clés), la prochaine fois qu'il commet une erreur, oubliez le sermon. Enfermez-le simplement et mettez-le mal à l'aise . Vous ne le punissez pas. Vous lui rappelez. Vous l'entraînez. Vous assumez.
Parcourez vos options . Les pointes ? Des solutions révolutionnaires.